Dominé ou dominant? (Vous, par rapport à votre cellulaire...)
Selon moi le téléphone cellulaire crée une certaine liberté, dépendant des situations.
J’ai un exemple concret personnel. Mon copain est infirmier et est très souvent sur appel. Pour lui le cellulaire est très pratique puisqu’il n’est pas bloqué à la maison à longueur de journée au cas où l’hôpital l’appellerait. Il peut vaquer à ces occupations à l’extérieur de la maison sans problème et c’est bien commode.
Pour m’a part, je trouve ça très rassurant d’avoir un cellulaire. Comme je fais beaucoup de route, peut importe ce qui m’arrive avec ma voiture, je ne suis pas mal prise et je peux appeler du renfort au besoin.
Comme il était mentionné dans un message précédent, avec la technologie des afficheurs et des boîtes vocales, nous sommes libres de répondre ou non. Nous avons toujours le choix.
Je crois que certain s’oblige à être esclave de leur téléphone cellulaire et ce n’est pas sain. Il faut savoir utiliser cette petite machine, il faut savoir la dominer. Stéphane Laporte écrivait dans La Presse : « Aujourd'hui, notre téléphone est aussi petit qu'un savon. Il n'est plus attaché au mur. Il est attaché à notre corps. Il est partout où nous sommes. À la maison, au bureau et à tous les endroits entre la maison et le bureau. Dans la voiture, au dépanneur, à la campagne, à l'hospice, chez le fleuriste, au sauna. Partout.» (En ligne, 2009)Cependant, si on prend l’habitude de sélectionner nos utilisation (et nos réponses), nous trouverons cette petite bête très utile et non envahissante. Du moins, c’est mon cas…
À chacun de choisir, être dominé ou dominant…
Bibliographie
Laporte, Stéphane. 2009. « L’amour au temps du cellulaire ». La Presse. En ligne. URL : http://www.cyberpresse.ca/opinions/chroniqueurs/stephane-laporte/200912/19/01-932589-lamour-au-temps-du-cellulaire.php. Consulté le 13 février 2010.
J’ai un exemple concret personnel. Mon copain est infirmier et est très souvent sur appel. Pour lui le cellulaire est très pratique puisqu’il n’est pas bloqué à la maison à longueur de journée au cas où l’hôpital l’appellerait. Il peut vaquer à ces occupations à l’extérieur de la maison sans problème et c’est bien commode.
Pour m’a part, je trouve ça très rassurant d’avoir un cellulaire. Comme je fais beaucoup de route, peut importe ce qui m’arrive avec ma voiture, je ne suis pas mal prise et je peux appeler du renfort au besoin.
Comme il était mentionné dans un message précédent, avec la technologie des afficheurs et des boîtes vocales, nous sommes libres de répondre ou non. Nous avons toujours le choix.
Je crois que certain s’oblige à être esclave de leur téléphone cellulaire et ce n’est pas sain. Il faut savoir utiliser cette petite machine, il faut savoir la dominer. Stéphane Laporte écrivait dans La Presse : « Aujourd'hui, notre téléphone est aussi petit qu'un savon. Il n'est plus attaché au mur. Il est attaché à notre corps. Il est partout où nous sommes. À la maison, au bureau et à tous les endroits entre la maison et le bureau. Dans la voiture, au dépanneur, à la campagne, à l'hospice, chez le fleuriste, au sauna. Partout.» (En ligne, 2009)Cependant, si on prend l’habitude de sélectionner nos utilisation (et nos réponses), nous trouverons cette petite bête très utile et non envahissante. Du moins, c’est mon cas…
À chacun de choisir, être dominé ou dominant…
Bibliographie
Laporte, Stéphane. 2009. « L’amour au temps du cellulaire ». La Presse. En ligne. URL : http://www.cyberpresse.ca/opinions/chroniqueurs/stephane-laporte/200912/19/01-932589-lamour-au-temps-du-cellulaire.php. Consulté le 13 février 2010.